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« A l’étage des pensées, certains restent souvent en travaux. C’est le cas de Jack.

Il mène une vie calme et parfaitement bien réglée. Pourtant, tout bascule lors d’une rencontre improbable avec une femme divinement diabolique.

Leurs convictions s’opposent, les mots

se heurtent, les idées s’affrontent.

Duo d'en bas est un duel entre deux mondes. Une joute où tous les coups

sont permis afin de changer le destin

de l’autre… »

Nos dates passées :

- 19 avril 2019 à Camaret-sur-Aigues.

- 4 mai 2019 au Festival de Monteux. Récompensé par le PRIX DU PUBLIC !

- 30 juin 2019 à Bize-Minervois.

- du 5 au 8 août 2019 au Grand Petit Théâtre d'Avignon.

- 26 octobre 2019 à Peyriac-Minervois.

- 8 février 2020 au Théâtre Episcène d'Avignon.

- 21 février 2020 au Festival d'Armoy.

- 7 Mars 2020 à Violès.

- 11 Septembre 2021 à la Chapelle St Louis d'Orange.

- 18 Septembre 2021 au Festival de Sauveterre.

Récompensé par le PRIX DE LA MEILLEURE AFFICHE !

- 19 Novembre au Festival les Automnales de Vedène.

Ce projet, à l’allure quelque peu loufoque, est né de notre rencontre qui l'est tout autant. 

Et peut-être qu'alors nous trouverons le bonheur dans l'idée folle et libératrice que la simplicité est La doctrine de vie.

En mai 2019, cette première création de la troupe est récompensée au Festival de Monteux par le Prix du Public 2019

"Mais la pièce ne se contente

pas de dépeindre l’âme humaine

dans une simplicité monochrome"

Ce projet, à l’allure quelque peu loufoque, est né de notre rencontre qui l'est tout autant. Écrite par le metteur-en-scène en d'autres lieux et en d'autres temps, cette pièce nous a adoptés.  

Il a fallu cependant faire quelques ajustements. En effet, Duo d'en bas est à l'origine 100% masculin. Mais c’était sans compter sur la comédienne qui, de par sa présence – et bien que portant un prénom mixte – féminise ainsi un des rôles. La pièce répond à présent aux logiques lois de la parité et se transforme en un duo à l'équité parfaite. Après tout, la femme est un homme comme les autres...

Au fil des lectures, d’autres modifications sont apportées afin de donner plus de rythme au texte, de simplifier ou de développer une idée. Ou encore pour réfréner les délires déjantés du metteur-en-scène (qui regarde trop de superproductions hollywoodiennes bourrées d’effets spéciaux…)

D'une création individuelle et personnelle, Duo d'en bas est devenu un projet commun qui a su fédérer trois personnalités en un triumvirat aussi original et impalpable que la pièce elle-même.

D’un prime abord, la pièce montre ce qu'il peut y avoir de différent entre un homme et une femme. Les personnages sont d’ailleurs très contrastés, pour ne pas dire totalement aux antipodes l’un à l’autre. Lui opposé à Elle ; ses habits blancs en contradiction avec ses vêtements noirs ; sa naïveté qui se heurte à sa perfidie ; sa folie contre son jugement…

Mais la pièce ne se contente pas de dépeindre l’âme humaine dans une simplicité monochrome. C’eut été trop facile ! Au contraire elle montre que, non seulement les apparences sont trompeuses, mais qu’en plus – et surtout – les notions de bien et de mal sont à proportion égale en chacun de nous. Rien n’est tout blanc ou tout noir : l’âme humaine est un camaïeu nuancé à l’infini. Et c’est nous qui influons sur sa couleur…
 

Ainsi donc, Duo d'en bas présente l'hypothèse selon laquelle rien n'est décidé d'avance. Nos vies, nos destins ne sont pas gravés dans le marbre. C’est nous qui avons le pouvoir de guider nos actes, de faire nos choix. Même si le chemin est jonchés de tentations en tout genre, nous avons la faculté de garder le cap que nous voulons bien prendre.

Dans la vie, on peut se tromper, on a le droit de changer de voie, on a même tout intérêt à savoir évoluer afin de faire grandir notre âme. Et peut-être qu’alors nous trouverons le bonheur dans l'idée folle et libératrice que la simplicité est LA doctrine de vie. Car comme qui dirait : « Heureux les simples d’esprit… »

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